Editorial
La Suisse et plusieurs pays ont été soumis à un nouveau confinement et, lorsque les messes publiques n’ont pas été interdites, la possibilité d’y assister a été fortement réduite.
A l’image de ce qui a été demandé à saint Joseph alors, l’autorité civile exige aujourd’hui de nous des choses difficiles et désagréables, en ce temps de pandémie. (cf. p. 3)
Les autorités s’en sont remises aux experts médicaux en leur confiant la responsabilité de décider de l’action publique : c’est une erreur de perspective monumentale. (cf. p. 37)
Des évêques, des députés, des avocats ont demandé sur quelles bases précises cette décision a été prise 1 , et bien souligné le fait qu’il s’agit d’une attaque contre la liberté religieuse.
Face à la préoccupation des prêtres et fidèles, le Supérieur général de la FSSPX a lancé une Croisade de prière, appuyée sur la récitation du chapelet, pour la messe et les vocations.
Ne baissons pas les bras dans le combat de la foi. (cf. p. 10)
abbé Claude Pellouchoud
Sommaire
Partie officielle
... Lettre du Supérieur de district
... Supérieur général : la situation de l’Eglise
La parole de Mgr Lefebvre
... Préserver sa foi dans une crise qui dure
Vie de l'Eglise
... Quand le pape François promeut les unions civiles d’homosexuels
Vie de la Tradition
... Entretien avec le directeur du séminaire Saint-Pie X, Ecône
... L’école “Fleurs de Mai”
... Journal de route du district
... Ils nous ont préparés à faire confiance à Mgr Marcel Lefebvre
Petite revue de presse
... Nouvelles de Suisse et d’ailleurs
Une page d'histoire de l'Eglise
... Chrétiens du Japon, deux siècles et demi de confinement
Télégrilles
... Découvrez un auteur et son livre
Vie spirituelle
... Les retraites en Suisse romande
La Fraternité en Suisse
... Les prieurés et les prêtres de la FSSPX
Horaire des messes pour la Suisse occidentale
- 1Le 3 novembre 2020, l’épidémiologiste Christ Whitty, médecin chef pour l’Angleterre, et sir Patrick Vallance, chef des conseillers scientifiques du gouvernement, ont témoigné devant une commission parlementaire qu’il n’y avait pas de bases scientifiques pour fermer les églises.